Nous y sommes

Nous y sommes

A moins que vous ne soyez aveugle, les dégâts terrifiants subis par la terre ne peuvent plus être ignorés. Comme ils l’avaient dit et nous en avais avertis, nous y sommes et ce n’est pas drôle, même si nous avons tous hâte d’en finir avec cette société devenue folle. Je leur donne la parole

Il y a des choses, petite fille, qu’il vous faut mieux ignorer jusqu’au bout pour vivre ce que vous avez à vivre et faire de votre mieux, ce qui caractérise votre dernière épreuve. Choisirez-vous d’être bon ou d’être dans l’égoïsme ? Car tout se résume à cela en temps de chaos. Choisirez-vous de préserver la vie ou seulement de préserver votre vie et votre confort ? Laisserez-vous votre porte ouverte ou allez-vous monter une barricade ?

Notre message pourrait se résumer à cela et ce serait bien suffisant, même si nous savons que vous attendez des nouvelles. Nous vous accompagnerons jusqu’au bout, pour certains la souffrance morale, la peine suffira, pour d’autres les douleurs de la maladie, la faim et la guerre ruineront leur vie. Pour une majorité d’êtres et d’animaux qui se plaindront peu, le monde va chavirer tant les choses ne seront plus comme avant.

Et là vous vous souviendrez qu’avant vous aviez tout sauf le partage, car après il ne vous restera que le partage si il reste à partager ou la communauté d’amour si il vous reste à attendre. Non pas attendre la fin, mais attendre des jours meilleurs qui viendront sur une terre purifiée et bien plus accueillante pour ses nouveaux pensionnaires.

Qui sont les nouveaux pensionnaires ? Mais vous bien entendu, un vous rénové et disposé à œuvrer autrement et dans le respect de tout ce qui est.

Quoi faire ? Nous vous avons déjà prévenu de faire quelques réserves de choses essentielles pour pouvoir tenir pendant les temps incertains où la société occidentale va se perdre. La crise ne sera pas uniquement économique, mais générale et touchera tout ce qui vit à la surface ou dans les eaux. Elle est déjà commencée, mais vous pouvez l’ignorer. Faites donc ce qu’il faut, courbez le dos, et placez-vous dans une politique de partage et non dans un égoïsme survivaliste qui ne vous protègera absolument pas.

Beaucoup de gens, comme d’animaux, vont partir. C’est ainsi, vous n’avez pas à les pleurer car ils seront bientôt heureux et libres. Nous savons que parfois ils vous manquent, mais imaginez qu’ils sont bien plus heureux là où ils séjournent qu’avec vous dans des conditions de souffrance que vous avez voulu pur diverses raisons.

Cette période de difficulté sera l’ultime coup de pied au cul que vous recevrez et elle permettra de sauver spirituellement encore quelques-uns.

La guerre ? Oui elle est là, déjà tellement là que le terme de demain n’a plus lieu d’être, dans toute son horreur, mais ce n’est rien à côté de ce qui se prépare. Prenez donc grand soin de vous préparer à vivre autrement, car hier n’existera plus et la société de facilité à laquelle vous êtes habitués comme des enfants gâtés va disparaitre corps et biens pour ne plus revenir à la surface de votre existence. Profitez, mais pas dans l’égoïsme, mais dans le partage. Aimez comme vous le pouvez, mais que cela devienne votre objectif prioritaire car lui seul vous rendra heureux et paisible dans cette tourmente.

 

Apocalypse;fin des temps;troisième guerre mondiale;guerre nucléaire;planète X

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