Canalisation : le rôle clef de l'alimentation dans votre avenir

Chers tous,

Un sujet auquel je ne pensais pas réellement .... mais ils ont insisté ....

 

Début de canalisation

Dans de tels temps de crise, il est évident que faire le difficile pour son alimentation, est presque indécent. Pourtant l'être humain a dégradé, en Occident, ses usages alimentaires comme jamais au paravant. Cela est si grave qu'il nous semble difficile de ne pas aborder le sujet, non pour vous contraindre ou vous dire ce que vous avez à faire, mais pour vous informer, ce que vos médias, et médecins, ne font pas.

La créature humaine est partie de l'association génétique des ingrédients de la terre et d'un ensemencement. Il y a fort longtemps de cela. Elle a été conçue vieillissante, mortelle, contrôlable par ses besoins vitaux : un air sain avec une composition stable, une moindre résistance aux changements de température, des besoins alimentaires variés, mais stables, une grande sensibilité à la douleur, notamment dans le cadre de la reproduction. Elle aurait pu être créée de façon parfaite, mais ce ne fut pas le cas, pour un tas de raisons.

Elle a de sévères difficultés à maintenir sa température corporelle, en partie du fait de sa nudité. Dotée d'une santé basée sur l'homéostasie et la régularité des flux, ainsi que la progressivité des changements, elle est à la fois adaptable et fragile durant les grands cycles de changement. Mêmes vos actuels changements de saison, en Occident, ne sont pas neutres. Quant aux cycles tropicaux, désertiques ou équatoriaux, ils ne lui sont pas favorables. Enfin son cerveau travaille sous l'influence d'une base animale réflexe que vous nommez cerveau reptilien en vertu de sa ressemblance aux cerveaux de la classe des reptiles.

Le plus étonnant, dans le cerveau humain terrestre (d'autres espèces humanoïdes sur d'autres systèmes ne sont pas du tout dotées des mêmes caractéristiques) est sans aucun doute sa puissance d'influence sur vos choix, notamment alimentaires, mais également para alimentaires : substances addictives, tels que l'alcool, ou la consommation de végétaux psychotropes. Votre cerveau fait des choix qui n'ont aucun rapport avec l'état de conscience auquel songe une créature développée en conscience. Vous ne mangez pas en conscience, en clair, dans la très grande majorité des cas.

Progressivement, votre masse cérébrale guide vos choix et oriente vos décisions à toutes fins de satisfaire son propre fonctionnement et non celui de l'organisme qu'elle est censée gérer et coordonner. Certains neuro-récepteurs priorisent la consommation des substances qui servent leur fonctionnement et leur développement, au point de leurrer le système tout entier et de lui faire croire que c'est une question de survie globale.

Nous ne parlons pas du tout des conséquences de la drogue, mais d'ingrédients bien plus simples : sucre, gras, additifs appétents, sel.

Tandis qu'une masse de créatures plutôt appauvrie lutte pour simplement survivre, les terriens nés du bon côté des barrières géographiques et culturelles, ont abandonné toute réserve par rapport à la consommation et au plaisir qu'ils peuvent en retirer, y compris dans les excès inverses : la privation extrême de toute ou partie des bases alimentaires.

Dans le temps de ce que vous avez appelé votre révolution industrielle, le progrès technologique a été utilisé pour créer des produits agréables à acheter et à consommer à titre non plus alimentaire, mais récréatif. D'immenses besoins se sont progressivement substitués aux besoins de base, au point même qu'une partie des terriens ne consomme plus du tout d'aliments frais.

Face à cette abondance, et en recherche de conscience, quelques factions se sont constituées : vous les appelez crudivorisme, végétarisme, végétalisme, mais nous ne citons là que quelques unes des principales, car vos exigeances culturelles n'ont pas tardé à faire le lien entre excès et état de santé, ou présence envahissante de cellules graisseuses. Vos médecins et vos industrielles, vos grands laboratoires, commencèrent à inventer des régimes spéciaux, dont certains visent à corriger les excès des premiers temps par l'apport d'autres substances de contrôle, et d'autres à consommer librement sans en subir les conséquences, soit à créer des modes alimentaires visant à perdre la masse grasse tout en fournissant un minimum vital à l'humain en faillite physique.

C'est en Occident que la situation est le plus préoccupante. C'est donc eu Europe, entre autres (et aux Etats-Unis), que la faillite alimentaire est le plus avancée, malgré un dialogue général qui prone l'éveil de la conscience. Vous avez pourtant associé cet état d'éveil à de nouveaux choix alimentaires : ne plus consommer de viande, par exemple, ou de produits issus du monde animal. Toujours pour des raisons conscientes, vous avez parfois choisi d'abandonner des pans de la culture alimentaire : produits laitiers, ou présence de gluten, par exemple. Et de façon non surprenante dans ce chaos cérébral et culturel, vous développez des troubles du système immunitaire, et notamment des allergies graves à des substances de plus en plus nombreuses, y compris chez des enfants ne tolérant plus le lait maternel. Vous avez également développé, la faute à tout un ensemble, des troubles du réflexe alimentaire : boulimie, anorexie et troubles connexes.

La créature humaine terrestre est devenue la victime de ses besoins, et ne croyez pas que cette tendance soit totalement nouvelle. Presque tous les peuples, de tous les temps et toutes les civilisations, se sont rendus au même point de non retour, lorsqu'ils ont été confrontés à l'abondance et à la nécessité d'apprendre à se réguler en conscience. Certains de vos historiens ont même établi un parallèle entre les excès et la fin de grandes périodes clefs.

Si nous vous en parlons simplement aujourd'hui, en réalisant cette synthèse, avant d'aller plus avant, c'est pour aider à la prise de conscience qui doit prendre le relai dans les temps prochains.

Cet état de fait, la déterioration de vos habitudes alimentaires, ou leurs conséquences, des choix ultra restrictifs parfois destinés à se priver de tout, y compris de la vitalité primordiale contenue dans le principe alimentaire, ne s'est pas faite tout à fait par hasard. Les contrôlants de l'humanité ont rapidement compris, à chaque époque où le problème s'est posé, que contrôler votre nourriture revenait à vous contrôler. Vos laboratoires ou même vos laboratoires d'idées ont créé une alimentation abondante et attirante, poussant votre cerveau à consommer et à réclamer toujours plus. Puis face aux dérives de santé publique, les mêmes grands laboratoires de votre monde ont créé des régimes spécifiques et spécieux, qui en répondant à une demande, créent un autre problème, car ils détruisent l'homéostasie à la base de votre fonctionnement cellulaire (primitif).

Aujourd'hui, nous vous le disons clairement, l'alimentation a raison d'une bonne partie de la planète, dans son évolution vers un état de conscience dit éveillé !

Un jour viendra où la matière va considérablement s'alléger. Mais ce n'est pas le cas pour le moment (cette notion de moment étant en fait une notion d'expérience à vivre pour l'âme qui choisit de s'incarner dans la matière jusqu'à son état d'éveil suffisant pour pouvoir s'en départir). Vos excès ou vos carences vous conduisent vers des impasses qui font de vous des créatures fragiles, incapables de réellement survivre en conscience, en faisant les bons choix, plutôt que de toujours se référer à l'alimentation comme simple panneau d'indication de confort de vie.

3 types de comportements à risque vous conduisent vers un état de contrôle absolu par d'autres que vous-même :

1°) La nécessité d'un apport constant et dérégulé d'aliments de confort en situation de confort (nous vous donnons, par exemple, le fait de manger sans cesse devant un écran qui maintient le reste de votre cerveau en état de sommeil, tandis que la consommation provoque la production de substances dites de récompense, vous plaçant dans un état léthargique agréable, qui ne demande qu'à être répété.)

2°) Les addictions alimentaires de toutes sortes, soit l'excès caractérisé et hors de contrôle, de la consommation d'un ingrédient, ou d'un aliment en particulier (nous vous donnons, par exemple, le fait  de consommer des sucreries, de la charcuterie ou des plats industriels, ou encore des végétaux dopants ou psychotropes, ou encore de consommer des alcools de façon répétitive et régulière sans commune mesure avec les besoins de socialisation)

3°) Les restrictions excessives de toutes sortes, qualitatives ou quantitatives, vous amenant parfois, à votre insu, à des états de conscience modifiés revenant à l'hypnose globale induite par des excès ou, pire encore, des excès devant écran. ( nous vous donnons, par exemple, le cas des différents types d'anorexie, parfois mariée à de la boulimie, ou à des pratiques extrêmes de sport). Certaines restrictions totales, comme ce que vous appelez le végétalisme, sont, malgré la bonne intention de départ, difficiles à intégrer par votre organisme, car vos progrès n'ont pas encore permis de lui offrir la même palette de substances via d'autres moyens (nous citons le végétalismen mais il en est de même pour toute forme de privation totale).

La résultante de cet état de fait en Occident, là où la grande abondance aurait du, au contraire, permettre à la conscience de se développer plus librement que sous la pression des besoins alimentaires, vous êtes, pour part, devenus des créatures assujeties à leurs besoins. N'y voyez pas, de notre part, de jugement. Il ne s'agit que d'un état factuel sur votre ligne temporelle et dans votre position actuelle. Chacun choisissant son chemin, il est libre de séjourner un temps infini dans une configuration de son choix. Il s'agit du libre arbitre.

Mais nous intervenons, car la liberté des uns entrave finalement la liberté des autres. Vos contrôlants ont bien compris et managent cette majorité anxieuse de ses choix alimentaires, ce qui stérilise pour part, la tentative par d'autres de se liberer des verrous de leur prison. Aucun être assujeti ne pourra élever sa conscience au point de se libérer de ses chaines. Pire encore, grâce à l'effet de masse, et à la pression sociale qu'elle exerce, ils (les êtres assujetis) contribuent à maintenir et pérenniser le contrôle sur leur générations et les suivantes.

Il est donc nécessaire, aujourd'hui plus qu'avant dans votre histoire, de récupérer votre souveraineté alimentaire. Puis votre souveraineté tout court. Car l'éveil de la consciencee se fait au travers du biais des choix et des affirmations de ses choix. Pour le moment, beaucoup de terriens se laissent diriger par une sorte de parti politique de ce que vous nommez la "malbouffe", tandis que d'autres renoncent à la conscience et fuient dans des paradis artificiels qui, le croient-ils, leur évitent la souffrance de vivre dans la matière.

Nous finirons en répétant des évidences, le lien du nouveau né au monde se fait grâce à la bouche grâce à laquelle il tête le lait maternel. La bouche est donc le premier organe sensoriel vital. Il est indispensable que vous redéveloppiez un lien sain et équilibré à vos besoins alimentaires, afin qu'ils ne deviennent pas de véritables conducteurs de votre vie, avant de vous amener doucement, mais surement, vers une réduction de vos aptitudes physiques et psychiques.

Rien n'est bon ou mauvais en soi, dans vos choix personnels alimentaires. Mais ciblez les points de contrôle et rétablissez les priorités. Bientôt, ce sera le temps des manques, et il sera bon de se souvenir de l'art et la manière d'obtenir un équilibre.

Enfin, une véritable révolution de vos besoins alimentaires, non pas indispensables, mais sociétaux et créés, constituerait une veritable arme pacifique contre toute entrave à votre liberté de conscience.

Fin de canalisation

Bon, faut que je réduise l'apéro saucisson/petit verre de vin moi ...... Enfin pas tout le temps quand même !

Je vous embrasse

Elizabeth

 

Troubles alimentaires et Fin de civilisation

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