2025 et au-delà : la reconstruction (voyance)

  • Le 03/12/2022
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Chers tous,

On nous la promet, cette période de paix et d'amour qui suivrait la catata en cours !

En tant que voyante, je la sens, la perçois, elle prend forme dans les âmes engagées et se manifeste déjà dans le champ énergétique perceptible par les voyants. Il y aura donc des lendemains heureux, des larmes séchées, des enfants qui rient et des adultes motivés et sereins.

La période qui suit va finir par provoquer (selon les prophéties quasi généralisées de toutes les cultures) une dépopulation mondiale et un arrêt des hostilités, faute de combattants. Heureusement, cet espèce de cauchemar aura eu un début, un milieu (nous y sommes) et une fin, sans doute, approximativement, dans 12/24 mois.

Dès lors que nosu aurons mis un pied sur la nouvelle terre, peu importe si tout est là, le soleil reviendra dans les esprits.

Je n'ai jamais perçu le monde idyllique que voit, par exemple, Monique Mathieu (ceci sans la moindre critique), autrement dit, je ne nous voit pas passer de l'enfer au Paradis, comme ça, hop ! Je sais que ce monde existe, j'y ai déjà voyagé, mais il n'est pas vraiment dans notre dimension (à mon sens, mais là aussi erreur possible). Je me rappelle de Feu Dolores Cannon, qui avait demandé à une de ses sujets profondément en transe, si elle connaîtrait la nouvelle terre. Le sujet a répondu oui, mais a sans doute omis de préciser que ce ne serait pas de son vivant.

Dans notre cas (et à tous ceux et celles qui m'ont posé la question en privé), je parle bien de notre vie de chair. La matière va évoluer, mais non disparaitre. Et c'est bien de ce voyage dont je parle.

Tout commencera à se modifier après les 3 jours/killshot (c'est sans doute le même processus), les hommes sortiront de chez eux, et sauront que la guerre est finie, que la lutte est derrière, qu'on peut se retrousser les manches et faire de notre planète, notre petit paradis de respect, d'amour, de paix et de bonheur bien entendu. C'est comme si c'était, pour longtemps, un premier jour de printemps. Et ça coïncidera sans doute avec la proximité du printemps, je ressens la nature, les forces primaires, les élémentaux, et l'envie de bien faire.

Nous vivrons ces modifications de l'intérieur, avec ce sentiment que la pression retombe enfin, que le temps de l'oppression générale est fini, que la cupidité et autres démons du 21ième, se sont rangés pour un temps.

Le climat

La terre va mettre du temps à se stabiliser et je sens bien que vents et marées vont l'agiter un sacré moment avant que nous ne puissions reprendre nos marques. Je sens une Europe plus continentale avec des hivers potentiellement froids et des vagues d'eau que nous prendrons l'habitude de potentialiser. Certaines régions mondiales seront délestées au profit de parcelles plus accueillantes. Le centre de la France me parait heureux, mais si je devais faire une carte, je sens bien que c'est au cas par cas et que surtout, cela dépendra de la perception de chacun. Les hauts plateaux du Larzac, par exemple, ne feront pas le bonheur de tous. Mais le berger amoureux de la nature brute, de son chien et de ses brebis, y trouve une paix à nulle autre pareille.

La terre

Il y en aura pour tout le monde (et pour cause, la population aura maigri) et les rôles pourront donc être répartis sans stress. Dans un premier temps, et suite à nos traumatismes actuels, nous serons nombreux à pratiquer l'autonomie et le retour au source. Mais, rapidement, les coeurs d'agriculteurs reprendront leur fonction, avec tout le respect qui leur est dû. Et chacun commencera à se trouver, et réfléchir à la vie qu'il a envie d'avoir. Le temps des intrants phytosanitaires barbares aura pris fin, faute d'une industrie en mesure de le faire. Mais il subsistera une sorte de mode raisonné, faisant raisonnablement appel à des techniques industrielles positives pour préserver et redévelopper les récoltes. Ce sera une sorte de nouvelle agriculture bio, qui va se chercher de nouvelles technologies, plus respectueuses, mais sans obsession. Fin de l'agro-industrie bourrée de sucres et de gras.

Le régime alimentaire

Les hommes vont se chercher et la consommation va se réguler. Le maître mot va être le " juste ce qu'il faut". Je ne perçois pas des terres vides de vaches et autres chevaux, mais c'est certain, il y en a bien moins. Je vois encore des grosses laitières et des moutons, et aussi plein d'autres animaux qui se mangent. Mais il y en a de moins en moins. Nos habitudes vont vers le moins carné. Et pas non plus vers les insectes. Je ne perçois pas d'insectes à consommer de façon obligatoire. C'est un peu comme si cette idée là avait fondu. Mais nos besoins en viande aussi.

Nous allons vers une alimentation que je qualifierai (en ressenti pur) de vertueuse pour le corps et l'esprit : ni trop; ni trop peu, la voix de la raison. Du fait de la disparition progressive des excès industriels, l'obésité diminue, ainsi que pas mal de pathologies. Les gens semblent juste en forme.

Alcool, chocolat et autres douceurs du dimanche, n'ont pas disparu, mais on le savoure sans s'en gaver.

Le tabac semble exister, mais là aussi de façon très modérée, il chute, tout doucement ..... l'idée d'une pipe au coin du feu, mais pas d'un mégot suspendu au coin de la bouche.

La famille, le couple, les enfants et la sexualité

Je perçois que nous gardons l'ouverture à toutes sortes de modèles d'amour et de famille, mais nous chassons les frivolités indécentes. On a envie de construire, pas juste de faire des parties de crêpes. Les femmes sont moins anxieuses, les hommes moins réactifs. L'amour fait vite son petit bout de chemin dans les coeurs. Les enfants semblent assez libres de courir, après ce que je perçois rester et bien rester : une sorte d'enseignement bien structuré et qui reprend du poil de la bête dès la sortie des évènements. Je vois de  jeunes enfants dans la campagne. Ils font des cabanes et sont sales. Mais épanouis. La responsabilité vis à vis des enfants semblent plus collective et moins culpabilisante.

La sexualité est libre et librement consenti, je ne ressens plus cette pression du genre ou du choix. Les violences semblent comme avoir disparu. Avec les disparus.

L'habitat

Il se réorganisera de façon conviviale, je perçois toujours cette volonté de conserver des espaces individuels, mais dans des structures parfois partagées. Comme si chacun pouvait se ressourcer seul, ou profiter d'un peu de présence. Rare sont les grands isolés comme notre société a su en fabriquer. Je ressens un rapprochement, mais volontaire. Il va s'écouler des années avant que chacun ne trouve ses marques bien à lui ! Je sens ce cheminement, comme une quête. Villes, villages ou hameaux subsistent, mais je ne trouve pas la mégapole de jadis. Il y a comme un morcellement des mégapoles de jadis. Je ne vois plus  certaines grandes villes. Tokyo, New-York et bien d'autres. Ont-elles disparu en tant que telles ?

Je ne vois pas non plus de spectacle post apocalyptique tel que montré par nos films hollywoodiens. Ils existent peut-être, mais pas dans mon champ de perception

L'argent

Il y aura un moment destructuré, puis on finira par replanter un décor à peine différent, et variable selon les lieux. Je ne vois pas une seule solution, mais plusieurs. Il y a un trucs, non 2, qui semblent avoir fondu : les banquiers et les crédits. Mais pourtant je la sens cette nouvelle organisation, mais je n'arrive pas à la définir avec précision. C'est la nouvelle génération (qui a 20/30 ans aujourd'hui) qui voudra la peaufiner. Je les vois réfléchir, s'animer, avoir appris de nos erreurs. Comme il y a de la place pour tout le monde, les choix matériels ne sont pas le fruit d'une obligation.

Le travail

Oui tout à fait, mais là aussi, la motivation n'est plus le salaire, mais la vie courante. Il semblerait que ce soit des petites tâches sur le territoire, où s'organisent les communautés, puis les modes se précisent et chacun prend un rôle selon ses prédispositions. Je ne vois pas d'humain couché devant Netflix ou Youtube : rien, nada. Finitos. Pourtant nous ne retournons pas en arrière, la technologie n'est pas perdue, et même elle continue un chemin qui me semble vertueux. et il y a aussi des temps de repos, de loisirs. Mais le Rien Faire a vécu.

Personne n'aura envie de prendre en charge personne, mais inversement, personne ne sera laissé pour compte. C'est un fragile équilibre qui se construira avec un système de soins plus apaisé - moins action réaction..

La santé

Certaines pathologies disparaitront. Juste parce qu'elles sont le fruit d'une société qui aura vécu. Moins de dépressions. Moins de fibromyalgie. Je vois des gens qui vont plutôt bien. Même si on meurt tout de même, mais en paix.

Il y a des médecins, des pharmaciens et tout le reste, et le progrès continue. L'accès aux soins finira par être universel, mais la contribution aussi.

Les maladies qualifiables de désordres cellulaires, comme le cancer, vont régresser. Puis, on finira par les soigner tout à fait, mais c'est hors de mon champs temporel clair (10/20/30 ans ?). On agira plus sur les causes en amont.

La médecine ira vers l'holistique. Assez vite. Il y aura consensus sur le fait qu'il faut d'abord conserver la santé, avant de soigner la maladie.

La durée de vie

Elle s'allongera doucement, au fur et à mesure, mais pas en une seule fois. Chaque génération gagne 10 ans ? C'est l'idée de ce que je perçois. Mais surtout on reste  actif, vif et motivé. L'idée de la retraite va mourir presque tout à fait. C'est comme si, à chaque âge, correspondait une tranche de vie différente. Et un investissement différent pour la communauté. Mais avec liberté. Si votre choix, c'est de vous faire ermite dans une grotte, personne ne vous en empêchera.

Cette façon d'envisager librement sa vie (en assumant les conséquences de son choix) fera que beaucoup se feront des expériences différentes au cours d'une vie.

Les jeunes enfants seront beaucoup pris en charge de façon plus générale, collective, enseignés et suivis par des personnes que je perçois plus âgées.

La mère de famille seule avec ses 3 enfants et une vie de course en attendant la fin du mois, celle là, elle va disparaitre.

Le couple et l'engagement

Je perçois des engagements plus modestes, mais plus sages. Le mariage en grand tintouin, celui-là il fera sourire. Fêtes modestes, stabilité vécue comme une réussite, mais aussi tolérance pour des moments à 2 non définitifs. Je la ressens, cette sagesse, mais aussi cette capacité à aimer. Oui pour le meilleur et assumer le reste à 2, parce qu'on est plus fort. La solitude sera un choix, un droit, mais pas une contrainte. Tout cela est progressif également, comme un glissement, d'une société à une autre.

Comme un fil lumineux que l'on suit.

Le gouvernement

Je perçois le chaos, je perçois l'après, et si il y a bien une gouvernance, je n'en ressens plus la centralisation dans son absolu actuel.

Après notre période de chaos, même les forces de l'ordre ne voudront plus entendre parler de repression. Donc la gouvernance va, de fait, vers une volonté d'élever les zones, pays, continents. Les gouvernants ne seront plus égotiques et avides. Ceux-là, on n'en voudra plus.

Pourtant je perçois des forces de l'ordre, on ne va pas au Paradis, mais vers une terre plus ordonnée : et les délinquants, personne n'en veut ..... donc il y aura des règles et on fera beaucoup de préventif. Depuis le plus jeune âge. La violence, le vol, ce sera combattu, parfois durement au début.

La religion et la culture

Visiblement, je peux regarder 10 fois : j'ai 10 résultats différents. Donc sans doute une énorme mixité. Là aussi, on ne se la fait plus idéaliste ou extrême. Il semblerait qu'après le chaos (et les désordres religieux extrêmes qui en feront partie), plus personne ne veuille entendre parler de religion. Alors quand elles vont se réinstaller, ce sera plus light. une sorte de droit personnel à la spiritualité de son choix.

Je ne perçois pas de célébrations religieuses : vont-elles être stoppées un temps ? Possible. Elles se redessineront après, mais ce que je ressens est allégé.

La technologie

Elle ne disparait pas. Elle fait comme les poissons dans la vase pendant l'hiver. Puis elle ressort et reprend son chemin. Il sera beaucoup question de technologie vertueuse. Les choses stagneront pendant quelques temps (1 à 5 ans ???), puis hop, ça repartira, dans certains coins ça sera très rapides, dans d'autres moins. Puis ils paratgeront leurs recherches, je vois ces jeunes gens avides de partage et de découvertes. Ils sont légers, éthiques, doux.

La technologie leur ressemblera.

Un monde idéal ? En combien de temps ?

Non pas idéal, la dérive finira par se réinstaller, je la sens comme une ombre qui guette. Mais nous seront en paix pour longtemps (1000 ans ? :) ) !

Le monde connaîtra une nouvelle ère et progressera, mais de façon progressive. L'ordre après le chaos, mais un ordre souple et bienveillant. Sur combien de temps, comme ça je dirais de 5 à 50 ans selon les secteurs. Après quoi ce sera facile, mais pas éternellement. Il y aura d'autres cycles d'errances, j'y ai déjà voyagé.

A 60 ans bientôt, je sais que j'integrerai directement l'équipe des vieux qui réflechissent plus vite qu'ils ne courrent. Mais je sais aussi que je n'ai certainement pas fini de galoper sur mes purs-sangs, dans la campagne rieuse et sauvage du Jura. Cette certitude, c'est celle que l'apocalypse n'est pas un phénomène de destruction totale, mais de refonte. Une chance de presque détruire la copie sale, pour écrire une plus jolie histoire.

Je vous embrasse

Elizabeth

 

 

Nouvelle Terre;nouvelle Jérusalem

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