Se défendre (canalisation)

Chers tous,

Un travail avec les guides tôt, très tôt, au moment où ma conscience n'est pas encore occupée par les affaires du jour. Le sujet, à savoir le fait de se défendre, est un sujet sur lequel, personnellement je cale toujours rapidement, mais il sauront nous éclairer.

Début de canalisation

Petites soeurs, petits frères de la Terre, votre pays sera bientôt le théâtre de violences de part et d'autre. Votre planète toute entière souffre déjà de voir sa surface souillée de sang et de larmes et nous attendons tous avec beaucoup d'espoir que la conscience supérieure guide les pas de tous ses enfants.

Il est pour vous très délicat, que de vouloir s'extraire de cette violence, qu'elle soit de l'esprit, de la parole ou des actes, sans sombrer vous-même dans de regrettables excès.

Vous craignez parfois d'y laisser votre progression spirituelle, et même de recueillir, pour toute récompense, ce que vous appelez parfois "un karma dégradé". Nousvoulons vous rappeler que Dieu, le Divin la Source ne punit jamais. Votre civilisation, sa violence intrinsèque et ses abus, ne sont pas une punition, mais un fruit pourri qu'il va falloir ôter de la corbeille. Car si l'on ôte pas le fruit abimé de la corbeille à fruit, c'est tout l'ensemble qui moisira et ne sera plus consommable.

Il en est de même pour votre vie, dans chacune de ses expressions : amour, engagement social ou familial, organisation matériel, etc.... Vous devez, en permanence, éloigner de votre corbeille de fruit, ceux qui sont devenus toxiques. N'y voyez pas une main violente, qui prend le fruit dans la colère. Mais la main juste, qui ne laisse pas ses enfants consommer de mauvais fruits. C'est aussi ce que fait et va continuer de faire votre planète, en nettoyant certaines zones devenues impropres à une vie saine et joyeuse. Progressivement, grâce à son voyage cosmique et à ses ajustements, la terre offrira à ses enfants, un endroit merveilleux, une terre fertile et un climat délicieux. Tout comme la mère qui veille sur sa famille, et leur propose une maison confortable, ordonnée, et des repas sains.

Dieu, le DIvin ne punit pas. Mais il tri et ne permet pas de faire du pain avec une farine souillée.

Ne traduisez pas ces métaphores à la légère, l'âme n'est jamais un fruit gaté ! Mais la jeune conscience peut se noyer dans de biens mauvais scénarios, que vous qualifieriez de "pourris" si vous deviez en être le spectateur neutre qui regarde sans participer, votre actualité d'aujourd'hui.

De même que la mère soigne les aliments qu'elle destine à ses enfants, elle les protège. Sur votre terre, les plus aguerris jouent frequemment ce rôle et nous voudrions vous renvoyer à la vision chevaleresque plutôt que condamnable. Il est nécessaire, indispensable, que vous vous protégiez de la violence des jeunes consciences qui se perdent dans leur propre scénario. Tendre l'autre joue n'aura pour effet que de permettre à l'agresseur de répéter et de s'enfoncer dans ses propres excès. Ce n'est donc pas un service à lui rendre, que de tolérer, encore et encore, qu'il vous violente.

Il n'y a donc aucune justification à la violence gratuite et la tolérer n'a pas de sens. Se protéger ou protéger les siens est naturel et même souhaitable, sans que cela ne prenne de mauvaise proportion. Quelles sont ces mauvaises proportions ? Consacrer sa vie au tri, plutôt qu'à la récolte ! Votre civilisation a résolu partiellement le problème en créant des fonctions différentes : certains sont soldats et d'autres sont agriculteurs. Vos dirigeants, qui craignent par dessus tout ce qui peut les déborder, souhaitent que seuls des soldats à l'obeissance garantie par leur fonction sous les ordres d'une hiérarchie déconscientisée, ont progresivement aboli le droit de se défendre.

Nous ne sommes pas d'accord avec cela, bien que votre libre arbitre vous garantisse la quasi totale liberté dans le scénario général. Mais croyez bien que si nous ne posions aucune limite, la terre aura déjà été le fruit d'une conquête extérieure qui se serait empressée de vous réduire à tous points de vue. Vous êtes donc défendus, mais pas de vous-même. Votre âme choisit, avant de s'incarner, ce qu'elle souhaite vivre ou non, et nous veillons à ce que cela soit, mais rien de plus. 

D'un point de vue éthique, et hors de vos loies et constitution, le droit de vous défendre vous est acquis. mais répandre la violence est dommageable d'un point de vue divin. Voilà quels sont les barreaux de votre échelle. Si vous montez trop haut sans équilibre, l'échelle tombera et vous avec, ainsi que tous ceux qui sont à votre suite.

Ce que vous allez vivre, dans votre France, mais nous voudrions aussi dire de façon générale, sur votre Terre, sera violent. Car lorsque l'ordre disparait, les jeunes consciences en profitent pour scier les barreaux de leur prison et s'évader à la conquête de tous leurs voeux. Vos gouvernants savent cela et le chaos contrôlé tient sur un équilibre savant entre forces de l'ordre, soldatesque bien rodée, et une population docile qui s'en remet à eux. Ce qui pourrait constituer une barrière suffisante face au grand risque de déploiement de la violence. Mais ce ne sera pas toujours le cas et il n'y a aucune raison spirituelle à laisser l'homme faire du mal à l'homme.

Les civilisations les plus avancées possèdent des armes tactiques dont vous n'avez pas idée. Seule l'énergie qui touche le DIvin et qui a quitté toute forme de matière, n'est plus dans la nécessité de se protéger. La mort du CHrist en croix fut souvent mal interprêtée. En se laissant torturer par les terriens les plus obscurantistes de son entourage, il n'a pas renoncé à sedéfendre, mais il a renoncé à sa vie terrestre, ayant accompli sa VIe, telle qu'elle était prévue. Pour cette magnifique incarnation, il fut accompagné et soutenu jusqu'à son dernier souffle terrestre. Mais n'y voyez pas d'encouragement à subir le martyre. Votre Eglise a souvent utilisé son exemple pour justifier la mort de ses enfants, ce qui fut plus politique que spirituel.

Un enfant martyrisé ne reviendra pas sur cette terre et n'accomplira rien d'autre. Il n'y a pas de justification au martyre. Le martyre est un risque, et non une gloire. La souffrance n'est pas glorieuse. Le CHrist a offert sa vie en exemple, mais le DIvin n'attend pas de vous que vous subissiez l'impensable. Vous n'êtes pas le CHrist. Et votre exemplarité ne se situe pas sur le même plan. Nous voudrions vous parler de cet autre exemple, lorsqu'il a chassé les marchands du temple. Il fut capable de colère, il avait 2 bras et 2 jambes, seule la conscience différait de la vôtre.

Enfin, nous voulons évoquer les conséquences d'une trop grande tolérance à la violence exercée à votre encontre et à celle de votre famille ou de vos proches.

Lorsqu'une tribu violente fit la conquête d'une tribu paisible, la violence restait un outil privilégié. Et la terre s'est peuplée selon ce mode opératoire. Les plus forts firent la conquête de ceux et celles qui ne savaient pas user de la force. Il y avait parfois justification partielle à cette violence, notamment dans l'injustice de la répartition des biens. C'est aussi ce qui vous guette ! Votre civilisation est parvennue à un stade où les biens et objets du désir sont concentrés en quelques mains qui se protègent et refusent l'idée du partage. Il est évident que les convoitises finiront par générer un déferlement de consciences d'abord affamées avant d'être spirituelles. La violence sera !

Nous voudrions vous proposer de partager avant de vous défendre. Mais cela ne sera pas toujours possible, ni avec tous, ni en toutes circonstances. La violence sera gratuite, comme lorqu'on ouvre la porte au taureau furieux. VOus avez ouvert la boite de Pandore, et la violence jaillit comme un torrent fou. Il n'est pas nécessaire que vous deveniez les victimes de l'ensemble de ces abus dont vous n'êtes pas responsables (totalement).

Votre responsabilité reste partielle. Ils vous faudra toujours réfléchir aux options, lorsque ce sera possible. Votre voisinage, votre famille, vos amis, ou le pauvre hère qui meurt de froid au bord du chemin. Mais il y aura de très nombreux cas de figure où la conscience est perdue et où vous ne pourrez répondre avec amour à un coup de poignard, de fusil, ou à un risque de bombardement, de lutte armée ou non. Ils vous faudra choisir la seconde option, quand bien même l'âme de l'agresseur est pure et divine. Soit l'évitement, et lorsque ce n'est pas possible, le fait de vous défendre afin de protéger votre intégrité physique ou morale.

La juste proportion reste la règle théorique et vos législateurs n'ont pas toujours eu tort sur ce point. Il ne s'agit pas de couper la main de l'enfant qui a volé une pomme. Mais le DIvin saura estimer, avec une précision juste et parfaite, la validité de votre acte. Ceci est une réponse éthique. D'un point de vue matériel, il vade soi que la réponse léthale (ou lourde) à une agression mineure est d'abord une violence avant d'être un acte de défense. Il existe cependant des cas délicats, la guerre est d'une grande laideur et tout n'y sera pas juste ou justifié, sans que l'homme qui a fait un choix dans l'urgence, ne soit le responsable de tout.

Nous vous donnons un point de vue extra dimensionnel : le DIvin sait parfaitement faire la différence entre l'homme qui défend ses enfants, et la conscience pleine de violence qui saisit ce prétexte pour libérer ses pulsions et se complaire dans le chaos. Ceux-là gagneront le droit de demeurer au sein d'un scénario qui leur convient.

Nous sommes conscients de la difficulté qu'il y a à demeurer dans le juste tout en exerçant le juste droit de se défendre. Mais demandez à être inspiré par le Divin et il guidera votre main sans vous plonger vous-même dans un univers de violence.

Nous espérons vous avoir éclairés sur ce sujet délicat.

Nous vous aimons, et vous défendons plus souvent qu'il n'y parait

FIn de canalisation

Et moi je vous embrasse et vous souhaite une bonne journée

 

Guerre civile;troisième guerre mondiale;invasion migration

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